Le Développement Économique fait en effet partie des compétences obligatoires exercées par l’intercommunalité. Les élus et agents profitent des visites d’entreprises pour échanger avec les dirigeants sur leur savoir-faire, leurs besoins, projets et problématiques.
Guillaume COUVAL, Ajolais d’origine, revient dans les Vosges après une solide expérience en tant qu’ingénieur industriel dans l’industrie lourde notamment dans la pétrochimie et les papeteries. Thomas VINCENT et Yanis CORNU, tous deux vice-présidents de la Communauté de Communes sont venus lui souhaiter la bienvenue, ravis d’accueillir cette nouvelle entreprise d’exception sur une zone d’activité intercommunale de la Porte des Vosges Méridionales. La Zone de la Croisette bénéficie d’un accès direct à la RN 57, à seulement 15 minutes de Remiremont.
SOLUTECH est une entreprise spécialisée dans l’intégration de machines industrielles pour les constructeurs, depuis l’étude d’implantation 3D jusqu’à la mise en service, en passant par le montage mécanique, le raccordement des tuyauteries et la réalisation des passerelles d’accès et gardes corps. Ils renforcent aussi les services techniques des différentes entreprises régionales, quel que soit le secteur d’activité.
La dernière réalisation en date portait sur une chaudière industrielle que Guillaume COUVAL a intégrée pour le compte d’un constructeur francais. Ses équipes ont non seulement assuré le montage et l’installation complète de cet équipement de 45T mais ont également réalisé les différents organes complémentaires au corps de chauffe : cheminée, tuyauteries eau, gaz, vapeur, passerelles et bâtiment du brûleur…
6 CDI ont déjà été créés en moins de 6 mois, l’objectif étant de poursuivre le développement avec des recrutements à venir. La sécurité et les qualifications sont 2 axes prépondérants de cette jeune société comme l’explique le dirigeant :
« L’exigence des entreprises industrielles nous impose des habilitations toujours plus nombreuses. Je veille à ce que mes équipes soient régulièrement formées pour toute sorte de process ou l’utilisation d’engins de manutention ».
Guillaume COUVAL, dirigeant de Solutech

« J’ai fait le choix d’investir dans du matériel et de l’outillage performant, à la fois pour l’image de la société mais aussi pour le bien-être de mes salariés ».
Guillaume COUVAL, dirigeant de Solutech
Une nouvelle machine est déjà en chantier, destinée cette fois à une station d’épuration (vue de la structure en cage), sujet qui a particulièrement intéressé les agents des services Eau et Assainissement de la Communauté de Communes, présents eux aussi. La compétence vient en effet d’être transférée par les communes.
Le Développement Économique fait en effet partie des compétences obligatoires exercées par l’intercommunalité. Accompagnés de leurs partenaires, les élus profitent des visites d’entreprises pour échanger avec les dirigeants sur leur savoir-faire, leurs besoins, projets et problématiques.
Le 13 novembre dernier, les élus de la Communauté de Communes de la Porte des Vosges Méridionales se sont rendus à Saint-Nabord pour découvrir la Tuilerie Monier – Groupe BMI. Ils étaient accompagnés de leur partenaire Vosges&co, nouvelle agence de développement économique de notre département, ainsi que de journalistes, conviés pour l’occasion.
Ils ont tout d’abord échangé avec le directeur du site, Patrick GEHIN, sur l’histoire de l’entreprise et les particularités de l’activité « tuile béton », un domaine très dépendant des actualités météorologiques, des plans locaux d’urbanisme et du marché du bâtiment en général, très fluctuant.
Après avoir revêtu les EPI (équipements de protection individuelle), tous se sont rendus sur le site de production pour découvrir les lignes de fabrication automatiques, mais aussi la ligne de façonnage à la main, sous les explications du chef d’entreprise. Quelles sont les étapes de la fabrication ? Quels sont les matériaux utilisés ? Quels contrôles qualité sont effectués ? Comment vérifier si une ligne a été efficiente ? Autant de questions qui ont permis à l’assemblée de mieux comprendre l’entreprise.

« Nous utilisons les moments où le marché est plus calme pour faire monter nos équipes en compétences et anticiper les reprises d'activités, parfois soudaines. Il est important de faire évoluer ceux qui le souhaitent, je suis moi-même passé par plusieurs postes au sein de l'entreprise avant d'en prendre la direction »
Patrick GEHIN, directeur du site de Saint-Nabord
Le marché de la tuile ciment représente 10% à 15 % du marché total BMI. En 2000, le site de Saint-Nabord a produit quelques 20 millions de tuiles (production annuelle la plus élevée depuis 1971). Le site de st Nabord est classé ICPE et recycle une grande partie de ses déchets de production.
LA TUILERIE MONIER
Implantée à Saint-Nabord depuis 1972, cette tuilerie, créée par le groupe britannique REDLAND, fait désormais partie du Groupe BMI Monier. Son installation au cœur des Vosges lui permet de se rapprocher de sa source principale d’approvisionnement en matière première (le sable) et de son bassin de clientèle de l’Est de la France.
Employant environ 60 personnes (recours ponctuel à l’intérim), l’usine est organisée autour de plusieurs équipes affectées à la production des tuiles béton, au façonnage main ou aux accessoires (faîtages, chatières, sorties de toits, tuiles de rives, etc.), d’une équipe logistique, maintenance et du personnel administratif. Le site héberge également une partie du personnel de la Direction Régionale Est. Avec un âge moyen de 45 ans, l’entreprise s’attache à former dès le départ ses nouveaux salariés afin de faire perdurer le savoir-faire.
Les produits sont vendus en majorité dans l’Est de la France, mais aussi dans le Centre et l’Aquitaine : enlevés sur place, ils sont distribués aux réseaux de négoce en matériaux pour les couvreurs, charpentiers, maçons, constructeurs de maisons individuelles et promoteurs.
Filiale du groupe Standard Industries, le groupe BMI, dont le siège est basé à Londres et le centre technique en Allemagne, est le plus grand fabricant de solutions de couverture et d’étanchéité en Europe : présent dans 29 pays, avec 119 sites de production, la société possède plus de 165 ans d’expérience et plus de 9 500 employés.
Répondant à l’extrême diversité des styles et architectures de nos régions, Monier France bénéficie pleinement du savoir-faire du groupe tout en s’appuyant sur près d’un siècle de présence au cœur des régions françaises.
« Je suis très fier que Saint-Nabord accueille autant de belles entreprises »
Jean-Pierre CALMELS, vice-président délégué à l'économie
« Grand merci à l'équipe de l'entreprise d'avoir pris le temps de nous dévoiler son savoir-faire. Une fois encore, c'est une belle découverte !"
Catherine LOUIS, présidente de la CCPVM
Le Développement Économique fait en effet partie des compétences obligatoires exercées par l’intercommunalité. Accompagnés de leurs partenaires, les élus profitent des visites d’entreprises pour échanger avec les dirigeants sur leur savoir-faire, leurs besoins, projets et problématiques.
En ce printemps 2024, les élus de la Communauté de Communes de la Porte des Vosges Méridionales se sont rendus au Val d’Ajol puis dans une commune saônoise en lisière des Vosges Secrètes pour rencontrer Laurent SEGONNE et visiter les 2 entreprises qu’il dirige.
TC Industries, pour sa part, est située dans la Zone d’Activités de La Croisette. Les couturiers connaissent bien certains produits fabriqués ici et il n’est pas impossible qu’ils aient aussi accompagné vos nuits ou vos soirées télé : l’entreprise est spécialisée dans la réalisation de coussins, dossiers de canapés et rembourrages pour les loisirs créatifs.
Cette petite entreprise de 11 salariés est presque à l’équilibre question mixité. Hommes et femmes s’affairent au remplissage, en couture et à la logistique. L’entreprise est sous-traitante et ne fait pas de vente directe. Ses clients sont surtout de grandes enseignes de la couture, de l’ameublement et des tapissiers-décorateurs. « Du 1er prix au très haut de gamme, nous pouvons tout faire. Par exemple, nous avons récemment fabriqué des centaines d’oreillers et des coussins de canapés pour des villages vacances ».
Et comme le développement durable et le réemploi sont désormais indispensables, l’entreprise a également développé une chaîne de revalorisation des matières et des déchets : recyclage de couettes, chutes de découpe de mousse synthétique, fins de stocks permettent désormais de faire des coussins 1er prix en restant compétitifs. Quant à la plume de canard, elle est vendéenne, 100% origine France et garantie sans plumage à vif selon le cahier des charges strict du label Downpass.

« J’aime la cohésion. Il faut reconnaître que, dans ces métiers, le mérite revient aux équipes en fabrication : c’est physique, souvent bruyant, assez répétitif. Mais nous sommes tous fiers d’avoir des clients dans la France entière et des noms de prestige. Nous développons aussi l’aspect social, cadeaux, primes annuelles et séances de bien-être au travail sont essentiels pour récompenser les équipes et garder notre esprit familial. Ici, on n’est pas un numéro de matricule sur un badge ! »
Laurent SEGONNE, Directeur de TC Industrie
Départ pour les Vosges Saônoises ensuite, à Aillevillers-Et-Lyaumont dans le département voisin pour une activité complémentaire mais finalement assez différente avec la découpe de mousses polyéthylène et polyuréthane. Ici, sont réalisés des assises de fauteuils roulants, mousses de protection des vaccins et autres emballages de produits de luxe telles les cristalleries de luxe du Grand Est ou encore les instruments de musique.
« À chaque visite, je suis ébahie devant la technicité de nos entreprises. On croise tous les jours des produits et on ne se rend pas compte du travail de précision qu’il peut y avoir rien que dans son emballage ! "
Catherine LOUIS, présidente de la CCPVM
« Une fois encore, cette visite nous prouve que le savoir-faire est bien présent dans nos communes. Il est essentiel que nous fassions tout pour le garder en aidant ces entreprises à rester sur notre territoire en les accompagnant dans leur essor »
Jean-Pierre CALMELS, vice-président délégué à l'économie
À ce titre la CCPVM intervient directement avec le Conseil Départemental des Vosges pour l’aide à l’immobilier d’entreprise mais accompagne également les entreprises dans la recherche et mobilisation des différents financeurs public dont la Région Grand Est.
Le Développement Économique fait en effet partie des compétences obligatoires exercées par l’intercommunalité. Accompagnés de leurs partenaires, les élus profitent des visites d’entreprises pour échanger avec les dirigeants sur leur savoir-faire, leurs besoins, projets et problématiques.
Ce mercredi 8 novembre, ils étaient accueillis chez TDV – Tréfileries de Vosges à Plombières-les-Bains par Silvio TAVOLIERI, Directeur Général et son équipe pour visiter plusieurs ateliers de fabrication et une grande diversité d’usinages : des ouvrages allant du millimètre à quelques microns (soit 100 fois plus fin qu’un cheveu), de la claie à fromage au pic à brochette en passant par les filtres pour l’industrie papetière ou les ressorts.
Car pour perdurer, l’entreprise doit sans cesse se renouveler. La dernière ligne de production, flambant neuve et ultra-moderne, consiste en la fabrication de profilés très fins pour les panneaux solaires. Une manière de se positionner sur un marché en plein essor où le made in France a toute sa place.
« Mais cela ne fonctionne que si nous restons compétitifs : qualité, innovation et délais sont les 3 ingrédients essentiels pour se mesurer aux entreprises étrangères ».
Quant à la présence de l’entreprise sur notre territoire, elle est historique (voir encadré) et elle n’a pas bougé depuis. Le directeur, Silvio Tavolieri, explique :
UN PEU D’HISTOIRE
Initiée par des activités de forge dès 1547 sur le site du Blanc Murger et point de départ de la « Vallée de la forge », l’histoire de la tréfilerie a connu de nombreux rebondissements depuis, mais c’est bien en 2008 que l’entreprise telle qu’elle existe aujourd’hui a pris son essor suite à son rachat par le Groupe Novamétal.
Spécialisée dans la fabrication de fils profilés de précision laminés à froid, fabriqués à partir d’acier inoxydable, d’acier au carbone et de métaux non ferreux, l’usine compte aujourd’hui 70 salariés et s’étend sur 10 000 m2.
Bien que peu connue du grand public, cette entreprise est devenue l’un des leaders mondiaux du domaine et exporte à 90% ses produits dans le monde entier dans des secteurs aussi variés que les panneaux photovoltaïques, l’industrie agro-alimentaire, la filtration industrielle, etc.
Soucieuse de la qualité de vie au travail et à l’environnement, TDV est aujourd’hui reconnue par l’UIMM – Charte RSE Industriel Engagé.
« Initialement, c’est la force motrice de l’eau qui expliquait l’implantation. Aujourd’hui, c’est clairement le savoir-faire de nos équipes. Certaines familles ici ont un siècle de TDV, le laminage se transmet de père en fils depuis des générations ! »
Silvio TAVOLIERI, Directeur de TDV
Aucune envie de bouger, d’autant que l’entreprise ne rencontre aucune difficulté logistique ou problème de recrutement vis à vis de ce relatif enclavement au Blanc-Murger. Ils accueillent d’ailleurs chaque année de nouveaux jeunes en alternance, issus du centre de formation de l’UIMM.
L’esprit familial, les dirigeants y tiennent, eux qui accordent beaucoup d’importance à la qualité de vie au travail et à l’environnement. Quant à la place des femmes dans l’entreprise, elle convainc toute l’équipe.
« On voit bien ici que les équipes sont tirées vers le haut, dans des métiers de plus en plus spécialisés, avec de belles opportunités d’évolution et de développement des compétences, toujours en local. Quant aux femmes, on leur reconnaît ici des aptitudes particulières dans les technologies fines et c’est très bien ! »
Jean-Pierre CALMELS, Vice-Président délégué au développement économique, à l’artisanat au commerce et à l’industrie
Pour une entreprise qui travaille à l’export, le contexte géopolitique actuel n’est pas simple. Alors il faut continuer d’avancer, d’innover, d’investir et de prospecter. Mais cela, depuis près de 500 ans, les Tréfileries des Vosges savent le faire !
« Encore une visite qui me fait découvrir un savoir-faire qui m’était inconnu. Si je devais résumer, ici c’est l’esprit familial qui prime et on peut en être fiers. »
Catherine LOUIS, Présidente de la CCPVM
Ce vendredi, c’est dans la zone industrielle d’Éloyes que se sont rendus les élus de la CCPVM pour leur traditionnelle visite d’entreprise. Plusieurs fois par an, ces rencontres ont pour objectif de mieux connaître le tissu économique local et d’échanger avec dirigeants et partenaires sur les besoins des entreprises. Florence Relly, responsable de la SARL Relly, a donc accueilli une les élus communautaires dans ses bureaux et ateliers de fabrication.
Créée en 1993 sur le territoire haut-rhinois, elle a rejoint notre territoire après un passage par Rupt-sur-Moselle : la SARL Relly est désormais implantée dans la Zone Industrielle de la Plaine à Eloyes.
Entreprise familiale, spécialisée dans la tôlerie, la mécano-soudure, la chaudronnerie et pionnière de la découpe laser (ils étaient les premiers laséristes vosgiens dès 1998), l’entreprise n’a cessé de se développer pour atteindre aujourd’hui 32 salariés. Et la croissance perdure au point qu’il va encore falloir agrandir. Il faut dire qu’avec 60% d’augmentation de chiffre d’affaire depuis 2020, machines et infrastructures doivent suivre.
« Ici, quand on est une entreprise, il y a la place nécessaire pour s’agrandir, on ne gêne pas le voisinage, le personnel vit souvent aux alentours et nous avons la proximité de la 4 voies ». Un atout indéniable pour une entreprise qui travaille en majorité en sous-traitance dans l’aéronautique, les engins de chantier, la mécanique ou l’agro-alimentaire.
Ces rencontres permettent de dresser un portrait de l’entreprise à l’instant T mais surtout d’envisager avec elle ses futurs projets, de faire le point sur les aides auxquelles elle peut prétendre et d’échanger à bâtons rompus pour accompagner au mieux les dirigeants.


Jean-Pierre Calmels, vice-président délégué à l’économie, l’artisanat, le commerce et l’industrie, souligne « Je connaissais cette entreprise pour raison professionnelle. Aujourd’hui, en tant qu’élu, je sais qu’il est primordial que les collectivités publiques soient au plus proche de leurs entreprises pour les renseigner, les accompagner financièrement dans leurs projets de développement. Nous avons un panel d’entreprises méconnues du grand public mais qui font partie du fleuron industriel français, il faut savoir les mettre en valeur ! »
Au fil des discussions ont été abordées les questions de développement de la clientèle, du coût de l’énergie, mais aussi du recrutement. « Pas facile de convaincre les jeunes des atouts du travail dans nos secteurs. Et pourtant, l’industrie recrute et nos métiers permettent de belles évolutions, entre travail manuel et technologies de pointe » affirme la dirigeante.
De la crédence de cuisine aux accessoires électroménagers, en passant par les pièces mécaniques ou le garde-corps d’une passerelle, le panel est large de ce qui peut sortir des ateliers. Les salariés travaillent en journée et peuvent conduire des machines de découpe laser, souder les pièces ou encore plier des métaux allant jusqu’à 25cm d’épaisseur et 4m de long.
Entreprise attachée à la qualité de vie au travail et à l’environnement, la SARL Relly s’est d’ailleurs vue décerner un agrément « Charte RSE Industriel Engagé » par l’UIMM (Union des Industries et Métiers de la Métallurgie).
Catherine Louis, Présidente de la CCPVM, remarque « C’est encore une belle entreprise que l’on visite aujourd’hui. C’est fascinant ce type d’ingénierie, nous pouvons être fiers d’accompagner de telles réussites ! ». En effet, l’entreprise a disposé de l’Aide à l’immobilier d’entreprise, gérée avec le Conseil Départemental. Ici, ce sont 50 000 euros qui ont été alloués à la SARL Relly en 2019, dont 10 000 euros de la CCPVM.
Le développement de l’entreprise se confirme puisque des projets nécessitant un agrandissement du site sont d’ores et déjà en réflexion.
EN CHIFFRES
7,5 M€ de chiffre d’affaire
40 000 € d’aide du Département
10 000 € d’aide de la CCPVM
35 salariés
1993 date de création de l’entreprise
2000 date de transfert à Éloyes
La SARL Relly fait partie de la Holding Relly Développement qui possède également la Chaudronnerie de la Plaine à Padoux.
À NOTER
Depuis la loi NOTRé, le Département et la Communauté de Communes de la Porte des Vosges Méridionales travaillent de concert pour accompagner les projets économiques du territoire en matière d’investissement immobilier (rénovation, extension, construction).
C’est une pépite qui se prépare à émerger sous les arcades ! Ce mardi avait lieu une visite de l’Hôtel du Cheval de Bronze par les élus de la Communauté de Communes de la Porte des Vosges Méridionales, en présence de François Vannson, Président du Conseil Départemental des Vosges.
Il est indéniable que cet établissement contribuera à enrichir notre offre touristique !
L’occasion pour tous de découvrir l’avancée des travaux de cet hôtel historique du centre-ville de Remiremont, créé en 1983 et dirigé actuellement par Cyril Georges. Un lourd programme de plus de 2 millions d’euros de rénovation qui comprend une forte restructuration avec de nouveaux aménagements (cuisine, terrasse, salle de séminaire, parking privatif), un travail sur l’accessibilité PMR, la sécurité incendie , la décoration mais aussi l’amélioration du confort et de la qualité d’accueil.
Cyril Georges vise désormais un classement 3 étoiles, montée en gamme nécessaire pour une ville comme Remiremont face à l’augmentation de la fréquentation touristique des Vosges Secrètes et les attentes de la clientèle. « 36 mois de travaux, c’est énorme, d’autant plus que vous avons maintenu une activité d’accueil pendant cette période ».
« Je suis réellement impressionnée par la qualité des futures prestations et surtout ravie que notre aide puisse accompagner cet hôtel dans l’amélioration de sa qualité de service. Il est indéniable que cet établissement contribuera à enrichir notre offre touristique ! » souligne Catherine LOUIS, Présidente de la CCPVM, qui était aussi accompagnée de trois vice-présidents de la CCPVM, Jean-Benoît Tisserand, Maire de Remiremont, Jean-Pierre Calmels, Vice-Président au développement économique, à l’artisanat et au commerce ainsi que Ludovic Daval, Président de l’Office du Tourisme.
En effet, une subvention 50 000 € a été allouée en 2022 dont 40 000 € du Conseil Départemental et 10 000 € de la CCPVM.
Derrière la porte d’entrée nichée sous les arcades, Cyril Georges et son épouse concoctent une belle surprise qu’ils ont hâte de dévoiler !
EN CHIFFRES
2 000 000 € de rénovation
40 000 € d’aide du Département
10 000 € d’aide de la CCPVM
Plus de 36 mois de travaux
30 chambres sur 4 étages
1 parking privé de 12 places en plein centre-ville
À NOTER
Depuis la loi NOTRé, le Département et la Communauté de Communes de la Porte des Vosges Méridionales travaillent de concert pour accompagner les projets économiques du territoire en matière d’investissement immobilier (rénovation, extension, construction).
Après la découverte de l’Hôtel du Cheval de Bronze (lire notre article ici), deuxième portrait d’entreprise à l’occasion de la visite des élus de la CCPVM au Restaurant San Remo ce mardi après-midi, en compagnie de François Vannson, Président du Conseil Départemental des Vosges.
Nous vivons là un beau moment d’échange
Le San Remo est un restaurant bien connu des habitants, réputé pour ses spécialités italiennes et le sens de l’accueil des gérants Mimmo Gambardella, Pauline Jacquemin et leur équipe. Mais tout le monde n’a pas encore vu le lieu dans son nouvel habit… Car tout a changé depuis le COVID : décoration design, sols et murs entièrement refaits, sanitaires rénovés et nouvelle terrasse, un îlot de fraîcheur et de calme dans une charmante petite cour intérieure.
Catherine Louis, Présidente de la CCPVM, l’a bien constaté ce mardi lors de la visite des élus : « Nous vivons là un beau moment d’échange, qui nous permet de constater concrètement comment sont utilisées nos aides à l’immobilier pour améliorer l’offre de restauration sur notre territoire ».
Ce sont en effet deux subventions qui ont été versées aux gérants en 2022 : 12 000 € du Conseil Départemental et 3 000 € de la Communauté de Communes.
Au delà de la visite des lieux, les élus ont pu discuter à bâtons rompus avec les gérants qui ont repris l’établissement en 2019, juste avant la fermeture pour cause de crise sanitaire. Vu le contexte, il fallait du courage pour entamer une rénovation à hauteur de 103 000 €. « C’était le moment ou jamais, nous ne pouvions pas envisager de fermer à nouveau pour travaux une fois venu le déconfinement », souligne Pauline Jacquemin.
Le San Remo embauche actuellement 9 salariés qui apprécient tous leur nouvel outil de travail. Et vu le nouveau décor, on ne peut qu’être d’accord avec eux !
EN CHIFFRES
103 000 € de rénovation
12 000 € d’aide du Département
3 000 € d’aide de la CCPVM
4 mois de travaux
120 couverts de capacité
À NOTER
Depuis la loi NOTRé, le Département et la Communauté de Communes de la Porte des Vosges Méridionales travaillent de concert pour accompagner les projets économiques du territoire en matière d’investissement immobilier (rénovation, extension, construction).
Après 10 mois de pause dans nos visites d’entreprises en raison de la crise sanitaire, les élus de la Communauté de Communes de la Porte des Vosges Méridionales (CCPVM) et de la Mairie de St Nabord ont visité l’entreprise CLEURIE-AUGIER, où ils ont été accueillis par le Directeur Yohann HUMBERTCLAUDE.
La société CLEURIE-AUGIER, historiquement CLEURIE-SA (nom choisi à sa création en 1972 au Tholy, le long de la rivière la Cleurie qui lui a donné son nom) fait désormais partie du groupe Maîtres Laitiers, une importante coopérative agricole du Cotentin qui regroupe quelques 1200 exploitants.
CLEURIE AUGIER, implantée depuis 1994 à St Nabord est spécialisée dans la distribution de produits alimentaires auprès des restaurations collectives et de l’hôtellerie restauration.
Alors que CLEURIE SA connaissait une croissance continue qui l’avait récemment conduite à doubler la surface de son site navoiraud, la crise de la Covid de 2020 a mis un frein brutal à ses activités. Du jour au lendemain plusieurs tonnes de produits en commandes on été annulées. Pour autant les denrées, en date limites avaient alors été offertes à la banque alimentaire comme c’est habituellement le cas.
La reprise est pour autant au rendez-vous et l’activité est dopée par une demande accrue de produits locaux qui représente désormais 20% des commandes et 12,5% des 16 millions d’euros de chiffres d’affaire de l’entreprise.
Une technologie de pointe pour une traçabilité irréprochable des produits
De la commande à la livraison CLEURIE AUGIER, garantit une chaine irréprochable notamment par l’emploi de la technologie « Pick by Voice » au sein de l’entrepôt grâce à laquelle les opérateurs confirment par micro et directement au logiciel de gestion les dates de DLC de chaque produit expédié.
45 emplois et de nouvelles embauches
CLEURIE AUGIER c’est aujourd’hui 800 clients, 45 salariés, 12 camions de livraisons, un chiffre d’affaires et une activité en constante progression qui conduisent le Directeur à recruter dans tous ses métiers : Chauffeurs, télé conseillers, commerciaux, logisticiens…
Pour candidater : cleurie@cleurie-sas.fr
https://www.facebook.com/CleurieAugier/

L’entreprise d’insertion Vosges TLC a ouvert sa quatrième boutique « Frip & style » dans les Vosges, à Remiremont, rue de la Franche Pierre. Cette structure d’insertion par l’activité économie (IAE) emploie actuellement 36 personnes en contrat d’insertion et 12 permanents.
Noëlle Pilot, responsable de la structure explique que ces emplois doivent permettre aux gens éloignés de l’emploi de retrouver une vie active en les accompagnant, jusqu’à deux ans, afin de définir un projet professionnel.
Vosges TLC propose des contrats de quatre mois à temps plein renouvelables.
Cette 4ème friperie constitue la valorisation de vêtements issus de la plateforme de tri basé à Capavenir-Girmont.
La Sarl Chanteranne-Lepaul, située à Plombières-Les-Bains est une entreprise artisanale réalisant des travaux de plomberie, chauffage et couverture, spécialisée dans les énergies renouvelables.
Elle dispose de toutes les qualifications nécessaires pour exécuter de manière professionnelle ces activités et assurer leur installation leur maintenance et leur dépannage.
Créée en 1952 par Roger CHANTERANNE elle a été reprise en 2011 par le gérant actuel, Monsieur Francis LEPAUL et compte aujourd’hui 8 personnes.
Avec un chiffre d’affaire en hausse, l’entreprise a fait l’acquisition d’une grue télescopique équipée d’une nacelle en 2019, pour répondre à un accroissement des demandes de pose de panneaux solaires et photovoltaïques.
Par ailleurs, l’entreprise est devenue l’installateur exclusif du panneau solaire hybride breveté LI-MITHRA*. Ce panneau innovant a été conçu dans les Vosges et fera l’objet d’une présentation.
Le système Li-Mithra est un panneau solaire hybride conçu et développé selon les dernières technologies et répondent à de hautes exigences en matière de qualité et de fiabilité. Li-Mithra propose ainsi une solution alternative propre avec son panneau solaire hybride révolutionnaire breveté pour produire de l’énergie non polluante à moindre coût. Il permet de pallier aux insuffisances des panneaux photovoltaïques actuels. Là où ces derniers sont capables de capter l’énergie sous forme photovoltaïque ou thermique, les panneaux Li-Mithra conjuguent la production des 2 pour atteindre une efficience maximale en particulier dans la récupération des énergies perdues lors des conversions énergétiques.